John Linger - Inversion
Structurally Sound - 2014
Après une floppée d’EP/Mini-Albums et deux albums long formats génialissimes avec Neils Children, John Linger le leader, chanteur et guitariste de la formation se permet une envolée éphémère et sort en toute discrétion son premier effort solo « Inversion ». Un mini-LP qui ne pouvait que nous ravir, comme a chaque release du groupe ou l’un de ses membres…
John Linger n’en est pas a son premier essais en dehors de sa formation de cœur puisqu’il officie dans une multitude de sides-project tout aussi barrés et talentueux les uns que les autres (Electricity In Our Homes, Syd Kemp, The Drop Five, Disconcerts). Signé sur son propre label Structurally Sound, fondé fin 2013, « Inversion » est une formidable première plongée dans un cadre tout ce qu’il y a de plus intimiste (en témoigne le cover) vers le monde trituré et barriolé du proto-punk supercréatif Linger.
Même si la touche Neils Children se fait sentir a chaque accords émis par la guitare de John Linger (« Ego Makes Sound », « Until Next Time »),on ne s’étonne pas pour autant puisqu’il est responsable de plus de plus de 80% des productions de sa formation originelle (sans parler des autres). Mais en rupture cette fois avec elle, et sous couvert d’un garage rock/post-punk frémissant en toile de fond, le chanteur dépressif entremêle différents styles inhabituels dans ses productions jusqu’à lors, qui s’étendent du blues au rockabilly (« Life Does Change ») et à la brit-pop psyché-acoustique avec un timbre de voix beaucoup plus chanté, pop et plus languissant.
Comme attendu « Inversion » est un premier opus parfait pour tout amateurs de post-punk débridé qui se respecte mais qui malheureusement ne seras écouter et partager que par une bribes de passionnés de post-punk nostalgiques des années 2000’s. C’est donc dans les nappes de l’underground et du tréfonds du web que cet album va surement rester et c’est bien dommage car il mériterait d’exploser les charts. La vie est ainsi, John le sait et nous aussi mais c’est pour celà qu’il était dans notre devoir de te partager cette petite bombe punk qui suinte comme la bonne sueur acide s’échappant des tavernes de l’Est Londonien. En rotation (très très) lourde sur la platine !
John Linger n’en est pas a son premier essais en dehors de sa formation de cœur puisqu’il officie dans une multitude de sides-project tout aussi barrés et talentueux les uns que les autres (Electricity In Our Homes, Syd Kemp, The Drop Five, Disconcerts). Signé sur son propre label Structurally Sound, fondé fin 2013, « Inversion » est une formidable première plongée dans un cadre tout ce qu’il y a de plus intimiste (en témoigne le cover) vers le monde trituré et barriolé du proto-punk supercréatif Linger.
Même si la touche Neils Children se fait sentir a chaque accords émis par la guitare de John Linger (« Ego Makes Sound », « Until Next Time »),on ne s’étonne pas pour autant puisqu’il est responsable de plus de plus de 80% des productions de sa formation originelle (sans parler des autres). Mais en rupture cette fois avec elle, et sous couvert d’un garage rock/post-punk frémissant en toile de fond, le chanteur dépressif entremêle différents styles inhabituels dans ses productions jusqu’à lors, qui s’étendent du blues au rockabilly (« Life Does Change ») et à la brit-pop psyché-acoustique avec un timbre de voix beaucoup plus chanté, pop et plus languissant.
Comme attendu « Inversion » est un premier opus parfait pour tout amateurs de post-punk débridé qui se respecte mais qui malheureusement ne seras écouter et partager que par une bribes de passionnés de post-punk nostalgiques des années 2000’s. C’est donc dans les nappes de l’underground et du tréfonds du web que cet album va surement rester et c’est bien dommage car il mériterait d’exploser les charts. La vie est ainsi, John le sait et nous aussi mais c’est pour celà qu’il était dans notre devoir de te partager cette petite bombe punk qui suinte comme la bonne sueur acide s’échappant des tavernes de l’Est Londonien. En rotation (très très) lourde sur la platine !
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