Eproctophilie : Le Nouveau Fétichisme Sexuel Dans Le Vent Ou "Les Fartgirls"
On connaissait les fétichistes du pied, ceux qui ne jurent que par les seins, les scatophiles et autres férus du sexe vu par un petit bout de la lorgnette. Il y a ceux qu'un mot salace va exciter, ceux qui perdent tout contrôle face à un talon aiguille, ceux qui ne prennent leur pied qu'attachés... Et puis ceux, très rares, qui avouent êtres excités par les flatulences. On subodore que cette tendance de l'éproctophilie n'est pas vouée à multiplier les adeptes.
Voilà un fantasme que peu doivent avoir en odeur de sainteté. Alors que d'aucuns parfument leur oreiller avec la fragrance de leur amant et que certains se shootent en toute légalité à l'odeur naturelle de leur partenaire sexuel, d'autres vont un peu plus loin et assument d'être excités par les... pets de leurs compagnons de couette. Vous avez dit incongru ? Ils répondent "pet importe", c'est leur fétichisme à eux, qui les rend chèvre au lit et les poussent à aborder ceux qui émettent des flatulences avec des yeux amourachés de merlan frit, en espérant se prendre un vent.
Du fantasme de la brise intime, mais que l'on se rassure, apparemment ce fantasme du vent odorant ne serait pas uniquement une question de fragrance : l'éproctophile, puisque c'est son nom, serait également fort sensible au bruit. Une combinaison gagnante pour ces fétichistes d'un genre particulier, en quête de sensations fortes. C'est le professeur britannique Mark Griffiths qui a mis le doigt sur cette forme d'excitation sexuelle (rare), en étudiant le cas de Brad (le patient a été rebaptisé), qui est, de son propre aveu, excité par "l'odeur et le bruit des pets". Une enquête plus tard, on apprend que le jeune homme de 22 ans n'est pas "attiré sexuellement par le gaz en lui même mais par la personne qui l'émet". Très bien. Et qu'il a volontairement perdu des paris dont le gage "était de se faire péter au visage" afin de réaliser en toute impunité son nouveau fantasme. Inspirant ?
Voilà un fantasme que peu doivent avoir en odeur de sainteté. Alors que d'aucuns parfument leur oreiller avec la fragrance de leur amant et que certains se shootent en toute légalité à l'odeur naturelle de leur partenaire sexuel, d'autres vont un peu plus loin et assument d'être excités par les... pets de leurs compagnons de couette. Vous avez dit incongru ? Ils répondent "pet importe", c'est leur fétichisme à eux, qui les rend chèvre au lit et les poussent à aborder ceux qui émettent des flatulences avec des yeux amourachés de merlan frit, en espérant se prendre un vent.
Du fantasme de la brise intime, mais que l'on se rassure, apparemment ce fantasme du vent odorant ne serait pas uniquement une question de fragrance : l'éproctophile, puisque c'est son nom, serait également fort sensible au bruit. Une combinaison gagnante pour ces fétichistes d'un genre particulier, en quête de sensations fortes. C'est le professeur britannique Mark Griffiths qui a mis le doigt sur cette forme d'excitation sexuelle (rare), en étudiant le cas de Brad (le patient a été rebaptisé), qui est, de son propre aveu, excité par "l'odeur et le bruit des pets". Une enquête plus tard, on apprend que le jeune homme de 22 ans n'est pas "attiré sexuellement par le gaz en lui même mais par la personne qui l'émet". Très bien. Et qu'il a volontairement perdu des paris dont le gage "était de se faire péter au visage" afin de réaliser en toute impunité son nouveau fantasme. Inspirant ?
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