Pink Floyd - The Endless River
Columbia Records - 2014
53 min après la fin du monde, 30000 pieds au-dessus des Hommes – Ca y est, le merveilleusement nommé « The Endless River », dernier album des Pink Floyd, est enfin sorti ! Tout un pan de notre héritage musical qui s’éteint, s’écroule, se termine… 50 ans d’histoire de psychédélisme expérimentale et de symphonies Prog Rock parfaitement orchestrées qui traversent nos orbites avec nostalgie. Alors pour ce dernier voyage, fermer les yeux, tourner le volume et monter à bords en vous laissant guider sur cette apaisante rivière d’ondes, de nuages & d’écumes…
Enregistré à partir de fragments de sessions effectuées au Royal Albert Hall, Astoria, Medina & Olympic Studios (Rolling Stones, Hendrix, Led Zeppelin, Doors), ces 21 compositions produites respectivement par David Gilmour, Youth (Killing Joke, McCartney & The Fireman), Andy Jackson (Grammy’s Best Engineer pour « A Momentary Lapse of Reason », « The Division Bell ») & Phil Manzanera (Roxy Music) sont regroupés autour du concept de « l’envol et le cri du cygne », une version expérimentale de la métamorphose. De la formation « originelle » Pink Floyd il n’en reste pourtant plus que deux depuis « The Division Bell » (1994) : Nick Mason & Gilmour (Richard Wright & le divin Syd Barret n’étant plus de ce monde et Roger Waters ayant quitté la formation en 85). C’est donc avec un plaisir fiévreux que nous avons appuyé sur le bouton PLAY.
Dès les premiers accords, « The Endless River » parait beaucoup moins énergique, plus mystique et surtout exclusivement instrumental mais s’inscrit dans la continuité directe de son prédécesseur « The Division Bell ». La forte présence du synthé dans les compositions laisse à penser à une Tribute à Richard Wright, même si dans sa globalité l’on regrette la touche magique de Waters qui à fait les grandes heures du groupe (« A Saucerful Of Secret »). Ce concept album suit un rythme graduel en 4 étapes : un départ doux (Side 1, des transitions maîtrisées (Side 2 & 4) et une triple montée au tiers (Side 2 pt 4), au milieu (fin Side 3 pt.4 – 6) et en cloture de l’album (Nervana) qui achève notre planant voyage au-dessus des nuages. Même si, comme chaque album des Flamants Roses, il est impossible de ne pas le juger dans son intégralité tant chaque compositions est importantes dans l’amorce de celle à venir, voici tout de même une petite liste de nos montée d’adrénalines : « Its What We Do » (Side 1, part 2), « Sum » (Side 2, Part 1), « Unsung » (Side 2, Part 3), « Anisina » (Side 2, Part 4), la Side 3 part 3- 7 (« Allons-y (1) » à « Talkin’ Hawkin »), Eyes To Pearl & Louder Than Words (Side 4, Part 2 – 4) et l’enchaînement « TBS14 – Nervana ».
Rockeurs de tout âge, Hommes terrestre de toute origine, Il est temps de faire le Mur (une seconde fois) et de nous rejoindre dans cette bulle mielleuse et quantique ou nous stagnons depuis hier, en courant acheter cette dernière galette emplis de délicieux psychédélices ! Laissez-vous emporter par l’infinie et mélancolique symphonie de cet Atlas des Nuages, pour décoller et ne plus jamais redescendre !
Tracklist :
Side One
1. Things Left Unsaid (David Gilmour, Richard Wright)
2. It's What We Do (Gilmour, Wright)
3. Ebb and Flow (Gilmour, Wright)
Side Two
1. Sum (Gilmour, Nick Mason, Wright)
2. Skins (Gilmour, Mason, Wright)
3. Unsung (Wright)
4. Anisina (Gilmour)
Side Three
1. The Lost Art of Conversation (Wright)
2. On Noodle Street (Gilmour, Wright)
3. Night Light (Gilmour, Wright)
4. Allons-y (1) (Gilmour)
5. Autumn '68 (Wright)
6. Allons-y (2) (Gilmour)
7. Talkin' Hawkin (Gilmour, Wright)
Side Four
1. Calling (Gilmour, Anthony Moore)
2. Eyes to Pearls (Gilmour)
3. Surfacing (Gilmour)
4. Louder than Words (Gilmour, Polly Samson)
Deluxe Edition - Bonus Track :
19. TBS9 (Bonus Track)
20. TBS14 (Bonus Track)
21. Nervana (Bonus Track)
Enregistré à partir de fragments de sessions effectuées au Royal Albert Hall, Astoria, Medina & Olympic Studios (Rolling Stones, Hendrix, Led Zeppelin, Doors), ces 21 compositions produites respectivement par David Gilmour, Youth (Killing Joke, McCartney & The Fireman), Andy Jackson (Grammy’s Best Engineer pour « A Momentary Lapse of Reason », « The Division Bell ») & Phil Manzanera (Roxy Music) sont regroupés autour du concept de « l’envol et le cri du cygne », une version expérimentale de la métamorphose. De la formation « originelle » Pink Floyd il n’en reste pourtant plus que deux depuis « The Division Bell » (1994) : Nick Mason & Gilmour (Richard Wright & le divin Syd Barret n’étant plus de ce monde et Roger Waters ayant quitté la formation en 85). C’est donc avec un plaisir fiévreux que nous avons appuyé sur le bouton PLAY.
Dès les premiers accords, « The Endless River » parait beaucoup moins énergique, plus mystique et surtout exclusivement instrumental mais s’inscrit dans la continuité directe de son prédécesseur « The Division Bell ». La forte présence du synthé dans les compositions laisse à penser à une Tribute à Richard Wright, même si dans sa globalité l’on regrette la touche magique de Waters qui à fait les grandes heures du groupe (« A Saucerful Of Secret »). Ce concept album suit un rythme graduel en 4 étapes : un départ doux (Side 1, des transitions maîtrisées (Side 2 & 4) et une triple montée au tiers (Side 2 pt 4), au milieu (fin Side 3 pt.4 – 6) et en cloture de l’album (Nervana) qui achève notre planant voyage au-dessus des nuages. Même si, comme chaque album des Flamants Roses, il est impossible de ne pas le juger dans son intégralité tant chaque compositions est importantes dans l’amorce de celle à venir, voici tout de même une petite liste de nos montée d’adrénalines : « Its What We Do » (Side 1, part 2), « Sum » (Side 2, Part 1), « Unsung » (Side 2, Part 3), « Anisina » (Side 2, Part 4), la Side 3 part 3- 7 (« Allons-y (1) » à « Talkin’ Hawkin »), Eyes To Pearl & Louder Than Words (Side 4, Part 2 – 4) et l’enchaînement « TBS14 – Nervana ».
Rockeurs de tout âge, Hommes terrestre de toute origine, Il est temps de faire le Mur (une seconde fois) et de nous rejoindre dans cette bulle mielleuse et quantique ou nous stagnons depuis hier, en courant acheter cette dernière galette emplis de délicieux psychédélices ! Laissez-vous emporter par l’infinie et mélancolique symphonie de cet Atlas des Nuages, pour décoller et ne plus jamais redescendre !
Tracklist :
Side One
1. Things Left Unsaid (David Gilmour, Richard Wright)
2. It's What We Do (Gilmour, Wright)
3. Ebb and Flow (Gilmour, Wright)
Side Two
1. Sum (Gilmour, Nick Mason, Wright)
2. Skins (Gilmour, Mason, Wright)
3. Unsung (Wright)
4. Anisina (Gilmour)
Side Three
1. The Lost Art of Conversation (Wright)
2. On Noodle Street (Gilmour, Wright)
3. Night Light (Gilmour, Wright)
4. Allons-y (1) (Gilmour)
5. Autumn '68 (Wright)
6. Allons-y (2) (Gilmour)
7. Talkin' Hawkin (Gilmour, Wright)
Side Four
1. Calling (Gilmour, Anthony Moore)
2. Eyes to Pearls (Gilmour)
3. Surfacing (Gilmour)
4. Louder than Words (Gilmour, Polly Samson)
Deluxe Edition - Bonus Track :
19. TBS9 (Bonus Track)
20. TBS14 (Bonus Track)
21. Nervana (Bonus Track)
|
|
|
Voir aussi :
Ce(tte) œuvre est mise à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International.