Rone - Creatures
InFiné Music Records - 2015
A peine revenu de son petit déjeuner en terre ibérique ou il s’était dévoilé à la face du monde technivore dans un tohu bohu général, le petit prodige français Rone aka Erwan Castex revient de sa virée strato-lunaire sur fond d’azur pour nous offrir « Creatures », son 3ème LP…
Toujours signé chez l’impétueux InFiné Records qui abrite quelques-unes des plus belles sensations des 2 dernières années (Clara Moto, Bachar Mar-Khalifé) ou il avait fait paraître, il y a quelques mois, son dernier EP en date « Apache » qui nous avait captivé par son son holophonique en 3D. Rone revient en 2015 inonder la technosphère de sa minimale planante, grinçante et atmosphérique.
Un album toujours aussi portée sur le visuel qui pourtant, dès la première écoute s’éloigne, sans en perdre l’essence, de ses influences Berlinoises des débuts. Un côté plus pop et francophone (featurings de Daho & François Marry des Atlas Moutains) calqué sur des productions toujours aussi acide-minimalistes aux longues complaintes symphoniques des synthés (« (OO) », « Acid Reflux », « Quitter la Ville », « Sir Orfeo » & « Vif »). Un voyage entre deux lunes de Jupiter qui se prolonge sur les terres d’Orient et d’Arabie par des productions plus Trip-Hop et mesurées accompagnées d’instruments du bout du monde (« Memory », « Calice Texas, « Freaks ») pour se conclure par de chimériques tentations sonores plus technoïsantes et déstructurées (« Sing Song » & « Ouija »).
Entre une sonate aux desseins acides des « Chants de Maldoror » et une partition de l’ « Atlas des Nuages », Rone, accompagné de ses divines nouvelles créatures nous fait rejoindre dans une « Glorieuse Parade » les ancestrales ramures des antiques et lumineuses civilisations des étoiles… « Tempelhof Airport à Rone 16-18…paré au décollage pour la Grande Ourse » …Only 4 The Ravers !
Toujours signé chez l’impétueux InFiné Records qui abrite quelques-unes des plus belles sensations des 2 dernières années (Clara Moto, Bachar Mar-Khalifé) ou il avait fait paraître, il y a quelques mois, son dernier EP en date « Apache » qui nous avait captivé par son son holophonique en 3D. Rone revient en 2015 inonder la technosphère de sa minimale planante, grinçante et atmosphérique.
Un album toujours aussi portée sur le visuel qui pourtant, dès la première écoute s’éloigne, sans en perdre l’essence, de ses influences Berlinoises des débuts. Un côté plus pop et francophone (featurings de Daho & François Marry des Atlas Moutains) calqué sur des productions toujours aussi acide-minimalistes aux longues complaintes symphoniques des synthés (« (OO) », « Acid Reflux », « Quitter la Ville », « Sir Orfeo » & « Vif »). Un voyage entre deux lunes de Jupiter qui se prolonge sur les terres d’Orient et d’Arabie par des productions plus Trip-Hop et mesurées accompagnées d’instruments du bout du monde (« Memory », « Calice Texas, « Freaks ») pour se conclure par de chimériques tentations sonores plus technoïsantes et déstructurées (« Sing Song » & « Ouija »).
Entre une sonate aux desseins acides des « Chants de Maldoror » et une partition de l’ « Atlas des Nuages », Rone, accompagné de ses divines nouvelles créatures nous fait rejoindre dans une « Glorieuse Parade » les ancestrales ramures des antiques et lumineuses civilisations des étoiles… « Tempelhof Airport à Rone 16-18…paré au décollage pour la Grande Ourse » …Only 4 The Ravers !
1. (OO)
2. Acid Reflux (ft. Toshinori Kondo) 3. Mortelle (ft. Etienne Daho) 4. Sing Song 5. Memory 6. Sir Orfeo (ft. Sea Oleena) 7. OUIJA 8. Roads (ft. Bryce Dessner) 9. Calice Texas (ft. Bachar Mar-Khalife) 10. Freaks (ft. Gaspar Claus) 11. Quitter la ville (ft. Frànçois Marry) 12. Vif (ft. Bryce Dessner) |
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