Comment Survivre Quand On Fait Trop La Fête ?
On a tous eu ce fameux matin, la tête engourdie et l'estomac retourné, oú on s'est dit avec peu de vigueur mais beaucoup de conviction :
" (Putain putain putain) (Merde) (Fait chier) Il faut que j'arrête de faire n'importe quoi, vraiment".
J'ai une amie même qui chaque weekend me dit : "c'est decidé ; j'arrête de boire".
Très drole.
On sait tous comment elles finissent ces paroles en l'air. Ca part d'un soir ennuyeux où on ne pensait pas sortir, puis quelques coups de fils innatendus, deux trois potes débarquent, quelques plans pour la soirée se discutent, une ou deux bouteilles s'immicent entre toi et ta bouche , ça picole, ça parle et ça part en grand nimporte quoi et ca atterit le lendemain la gueule dans la cuvette et les regrets pleins le tète !
" (Putain putain putain) (Merde) (Fait chier) Il faut que j'arrête de faire n'importe quoi, vraiment".
J'ai une amie même qui chaque weekend me dit : "c'est decidé ; j'arrête de boire".
Très drole.
On sait tous comment elles finissent ces paroles en l'air. Ca part d'un soir ennuyeux où on ne pensait pas sortir, puis quelques coups de fils innatendus, deux trois potes débarquent, quelques plans pour la soirée se discutent, une ou deux bouteilles s'immicent entre toi et ta bouche , ça picole, ça parle et ça part en grand nimporte quoi et ca atterit le lendemain la gueule dans la cuvette et les regrets pleins le tète !
La fête, c'est ce moment fait pour celebrer quelque chose. On fête un anniversaire, un mariage, une embauche...
Or, avec le temps on comprend qu'il faut célebrer la vie. Elle est courte et jonchée de mauvaises surprises.
Alors tout devient pretexte à sortir : un déménagement, un salaire de fin de mois, un match de foot... et ca fait du bien.
Selon Wiki (mon meilleur ami), "la fête est un moment privilégié, toujours attendu avec impatience. Elle est propice à la mise en relation de ce qu'il faut ordinairement séparer : les classes sociales, les sexes, les âges".
Et c'est vrai que nous, petits individus anonymes de cette grande société, sommes heureux de nous retrouver avec pleins d'autres sûrement bien differents, dans un même lieu et pour la même raison : s'éclater. Cela nous permet de nous sentir appartenir à un seul groupe, à une même communauté. Sentiment qui s'efface dans l'augmentation des inegalités et de l'individualisme, hélas.
Or, avec le temps on comprend qu'il faut célebrer la vie. Elle est courte et jonchée de mauvaises surprises.
Alors tout devient pretexte à sortir : un déménagement, un salaire de fin de mois, un match de foot... et ca fait du bien.
Selon Wiki (mon meilleur ami), "la fête est un moment privilégié, toujours attendu avec impatience. Elle est propice à la mise en relation de ce qu'il faut ordinairement séparer : les classes sociales, les sexes, les âges".
Et c'est vrai que nous, petits individus anonymes de cette grande société, sommes heureux de nous retrouver avec pleins d'autres sûrement bien differents, dans un même lieu et pour la même raison : s'éclater. Cela nous permet de nous sentir appartenir à un seul groupe, à une même communauté. Sentiment qui s'efface dans l'augmentation des inegalités et de l'individualisme, hélas.
Le weekend est un moment festif de la semaine ou les gens se détendent de leur rude labeur de la semaine. Donc souvent le vendredi soir on se déchaîne, samedi matin on regrette, puis samedi soir on veut oublier alors on se la recolle et dimanche finalement plus epuisé qu'on ne l'était déjà, on décuve.
Et de temps en temps, il y a les jeudi soir, soirées étudiantes, puis les mercredi soir, la pause de milieu de semaine, puis mardi le début corcé et parfois il y en a même qui commence dès le lundi... Ceux-là sont des battants, bons vivants ou alcooliques.
Alors y-a t-il un trop ?
On est jeune et insouciant, le monde va mal (terrible synisme habituel) et il faut profiter tant qu'il est encore temps pour... S'amuser.
C'est trés important de s'amuser, sortir, rencontrer des gens, aller boire au bar, écouter des concerts, oublier la routine le temps d'une soirée.. Le plaisir de faire la fête se base sur le présent, profiter de l'instant et non penser à l'avenir et ses risques d'oú son aspect jouissif. La teuf, c'est un évènement éphemère et fini. C'est bien pour cela qu'on se presse autant pour y aller.
La bringue ça permet de se retrouver avec ceux qu'on aime ou en tout cas j'espère pour vous, mais aussi et surtout de passer un bon moment et de décompresser ! Parfois trop certes...
Il a des extrêmes à chaque bords te dirais-je. Regarde l'urine partout et entierement au dehors de la cuvette que tu as malencontreusement déversé la veille en rentrant de soirée..
Sortir : c'est aussi boire, boire et désouler pour re-boire.
La jeunesse (et un peu tous le monde à vrai dire) ne fait que ça. C'est bon pour le moral disent certains (ou pas).
Beaucoup en abuse, beaucoup se détruisent, d'autres s'enferment dans le cercle infiniment vicieux des excès et n'en sortent plus...
Et de temps en temps, il y a les jeudi soir, soirées étudiantes, puis les mercredi soir, la pause de milieu de semaine, puis mardi le début corcé et parfois il y en a même qui commence dès le lundi... Ceux-là sont des battants, bons vivants ou alcooliques.
Alors y-a t-il un trop ?
On est jeune et insouciant, le monde va mal (terrible synisme habituel) et il faut profiter tant qu'il est encore temps pour... S'amuser.
C'est trés important de s'amuser, sortir, rencontrer des gens, aller boire au bar, écouter des concerts, oublier la routine le temps d'une soirée.. Le plaisir de faire la fête se base sur le présent, profiter de l'instant et non penser à l'avenir et ses risques d'oú son aspect jouissif. La teuf, c'est un évènement éphemère et fini. C'est bien pour cela qu'on se presse autant pour y aller.
La bringue ça permet de se retrouver avec ceux qu'on aime ou en tout cas j'espère pour vous, mais aussi et surtout de passer un bon moment et de décompresser ! Parfois trop certes...
Il a des extrêmes à chaque bords te dirais-je. Regarde l'urine partout et entierement au dehors de la cuvette que tu as malencontreusement déversé la veille en rentrant de soirée..
Sortir : c'est aussi boire, boire et désouler pour re-boire.
La jeunesse (et un peu tous le monde à vrai dire) ne fait que ça. C'est bon pour le moral disent certains (ou pas).
Beaucoup en abuse, beaucoup se détruisent, d'autres s'enferment dans le cercle infiniment vicieux des excès et n'en sortent plus...
Alors, peut-on vivre et exister (sainement) en ayant chaque soir un coup dans le nez et tout les matins des réveils plus que difficiles ?
Certains y arrivent car ils baignent dedans, artistes en tous genre, serveurs, cuisto, barman et bien d'autres... Mais sur le long terme c'est compliqué et ca peut vite dégénérer.
Les petites choses que j'ai à dire mais que tout le monde sait déjà :
- Connais tes limites : si il faut apprendre à les connaitre, apprends mais prend garde mon enfant.
- Répartis tes fêtes et donne un temps à tout : sans effort et perseverance dans la routine journalière, la fête ne prend pas la même ampleur. C'est toujours plus jouissant quand c'est bien mérité.
- Ne bois jamais plus que tu ne peux payer : c'est avoir les yeux plus grand que le ventre et le porte monnais plus petit que la soif.
- Ne t'endettes jamais : c'est une source d'emmerde qui pourrait te suivre toute ta vie.
- Travaille (comme tu peux) pour pouvoir inviter tes potes et payer ta tournée.
- N'oublie pas que l'eau est indispensable pour tout excès.
- Essaye d'être sain et bien portant : prends soin de toi, mange sainement, fais du sport, médite, marche, cours, même si tu bringue beaucoup, n'oublie pas, la santé avant tout !
Jean Duvignaud a dit un truc interessant : "La fête, éphémère, brise parfois le cours d'une histoire. Mais si périssable soit-elle, elle engendre des semences d'idées et de désirs, jusque-là inconnus, et qui, souvent, lui survivent".
Sortir, boire et rencontrer du monde permet de s'ouvrir à des possibles (ou impossibles) souvent innatendus et remplis de choses à explorer. Suffit de savoir se tenir à quelques verres ou juste s'en tenir à tenir debout...
Bref. La fête est un élément indispensable à la vie mais il faut savoir dominer la débauche.
Cet article est un peu brouillon, brouillé, et ne brille plus trop. Normal, il est un peu comme moi à trois jours post nouvel an... J'm'en suis toujours pas remis et tu sais c'est quoi le pire ? C'est que ce soir... Il parait que je remets ça.
J'entends encore Balzac dire (ou presque) : "Vous connaissez le proverbe ? Il n’y a pas de bonne fête sans lendemain".
Nasty Jellybean
Voir aussi :